Comme une brindille que le vent ballote ça et là,
C'est mon coeur qui se promène au loin là-bas;
Car de ma terre, il ne me reste que la poussière.
Les hommes qui y vivent me meurtrissent.
Les plantes qui y poussent qui guérissent.
Les animaux qui y vivent qui périssent.
Les honneurs qui y survivent me retiennent.
La Haine qui y demeure la détruit .
Il y fait bon y vivre mais il fait peur d'y vivre.
Le vent m'enleve mes grains de terre fertiles,
Et me ramène poussiere et sable.
Ma jeunesse n'y a plus aucune vie.
Elle attend seulement que le vent l'emporte loin de là.
"Mon coeur ne bat plus
Je ressens le poison que je suis devenue"
Qu'est-ce que j'ai fait de ma terre?
Un desert de poussière ...
Un cimetière de sable...
Un océan de sénescence...
Une mort absolue...
C'est quand je pense à ma terre,
Que j'ai mal au coeur ...
Miss Ahdynn
Ever feel like sometimes you tend to over-think almost everything ... you have 500 versions of a situation stuck on replay in your head ... and U JUST KEEP THINKIN ... we will write in French, English, and of course Haitian Creole and RARELY Spanish ... but we will write ... we will definitely have something going on up there that we will need to share ... and you just keep reading ...
Friday, August 31, 2012
Wednesday, August 29, 2012
Poussière d'Ange
Très tard dans la nuit,
Une belle de nuit s'épanouit.
La lune est au plus haut dans le ciel,
Et près d'elle, des étoiles étincellent.
Sur l'herbe étendue,
Le regard perdu.
Dans les mystères du néant
Une fillette allongée se reposant.
L'air est léger,
Le vent glacé,
Le soir dans nos villes de campagne,
Très haut dans nos montagnes.
Loin des villes modernes,
Des visages à rictus, fatigués et ternes,
là où les voitures et autres machines,
Répugnent a mener les activités assassines,
De leurs habitudes, comme cette grisâtre fumée
Polluante, A notre visage incessamment soufflée.
Là où la seule poussière
Que l'on respire,
Est la trainée de poudre laissée par un ange
Qui dans les abysses célestes voyage.
Miss Ahdynn
Une belle de nuit s'épanouit.
La lune est au plus haut dans le ciel,
Et près d'elle, des étoiles étincellent.
Sur l'herbe étendue,
Le regard perdu.
Dans les mystères du néant
Une fillette allongée se reposant.
L'air est léger,
Le vent glacé,
Le soir dans nos villes de campagne,
Très haut dans nos montagnes.
Loin des villes modernes,
Des visages à rictus, fatigués et ternes,
là où les voitures et autres machines,
Répugnent a mener les activités assassines,
De leurs habitudes, comme cette grisâtre fumée
Polluante, A notre visage incessamment soufflée.
Là où la seule poussière
Que l'on respire,
Est la trainée de poudre laissée par un ange
Qui dans les abysses célestes voyage.
Miss Ahdynn
Thursday, August 23, 2012
A ma fenetre, il pleut ...
Deux gouttes d'eau sensuelles et sexuelles te ruissellent sur le visage,
Provenant des deux mèches de cheveux qui te pendouillent la dessus.
Tes yeux pensifs se perdent au loin dans le paysage,
Partiellement masqué par la brume, il te pleut dessus.
De la fenêtre de mes rêves , je te regarde, je t'espionne , j'ai chaud.
Chacune de ces gouttes qui te coulent sur la peau,
Le visage, les lèvres, le torse, le ventre et le bas-ventre
La nuque, le dos, les fesses et entre
Me tue car je voudrais de ma langue , voyager ainsi ...
Je sue, je transpire, je me mouille, je sourie, je cris ...
Ton t-shirt trempé calque pour mes yeux ces traits qui
Me dévorent a petit-feu dans mes entre-jambes.
Ton short lourd d'eau tombe et dévoile ton V tentateur qui
Selon moi devrait être entre mes jambes.
Quand il te pleut dessus comme cela,
Moi je voudrais que tu sois la.
Sur ce lit me faisant l'amour, sur la table me couchant.
Sous la douche me baisant, toi en moi me prenant.
Mais quand il pleut,de ma fenêtre je vois
La plaine du cul-de-sac dans le brouillard devant moi.
Assise mes genoux dans mes bras, ma tête dessus
Me voici damoiselle un peu perdue.
Deux gouttes d'eau tristes et monotones me ruissellent sur le visage
Provenant de mes yeux pales et moroses qui ne semblent plus penser du tout
Pensif regard égaré dans les arbres, les fleurs, le paysage
totalement resplendissant , car il lui pleut de partout
De la fenêtre de mes pensées, je rêve, je pleure, j'ai chaud
Chacune de ces filles qui te colle sur la peau,
Le visage, les lèvres, la langue,le ventre et le bas-ventre,
Les mains, les seins, le dos, les fesses et entre
Me tue car je voudrais de mon corps ainsi te posséder.
Dans tes bras, suer , transpirer, me mouiller , sourire et puis, crier ...
Miss Ahdynn
Provenant des deux mèches de cheveux qui te pendouillent la dessus.
Tes yeux pensifs se perdent au loin dans le paysage,
Partiellement masqué par la brume, il te pleut dessus.
De la fenêtre de mes rêves , je te regarde, je t'espionne , j'ai chaud.
Chacune de ces gouttes qui te coulent sur la peau,
Le visage, les lèvres, le torse, le ventre et le bas-ventre
La nuque, le dos, les fesses et entre
Me tue car je voudrais de ma langue , voyager ainsi ...
Je sue, je transpire, je me mouille, je sourie, je cris ...
Ton t-shirt trempé calque pour mes yeux ces traits qui
Me dévorent a petit-feu dans mes entre-jambes.
Ton short lourd d'eau tombe et dévoile ton V tentateur qui
Selon moi devrait être entre mes jambes.
Quand il te pleut dessus comme cela,
Moi je voudrais que tu sois la.
Sur ce lit me faisant l'amour, sur la table me couchant.
Sous la douche me baisant, toi en moi me prenant.
Mais quand il pleut,de ma fenêtre je vois
La plaine du cul-de-sac dans le brouillard devant moi.
Assise mes genoux dans mes bras, ma tête dessus
Me voici damoiselle un peu perdue.
Deux gouttes d'eau tristes et monotones me ruissellent sur le visage
Provenant de mes yeux pales et moroses qui ne semblent plus penser du tout
Pensif regard égaré dans les arbres, les fleurs, le paysage
totalement resplendissant , car il lui pleut de partout
De la fenêtre de mes pensées, je rêve, je pleure, j'ai chaud
Chacune de ces filles qui te colle sur la peau,
Le visage, les lèvres, la langue,le ventre et le bas-ventre,
Les mains, les seins, le dos, les fesses et entre
Me tue car je voudrais de mon corps ainsi te posséder.
Dans tes bras, suer , transpirer, me mouiller , sourire et puis, crier ...
Miss Ahdynn
Enough
I’ve
been thinking daily about
How
much I’ve loved you
How
by far I’ve tried to be with
Some
other guys
But
none of them had that sparkle
First
name that would come out of my mouth is yours
I’ve
been in love before
However
not the same way you make me feel
When
you touch my face
When
you kiss me
When
you are looking at me
I
feel so desired; I become aware of how beautiful I am
How
pure it is to share that kind of love
Didn’t
know I could feel such passion for one person
But
you had to break my heart for me
To
realize how stupid I was
And
to complete it all, you think I’m a liar
Compare
to you, I’m an innocent sheep
Who
barely knows how to express her feelings that re burning inside
I
do want you in my life
I
do make dreams about us living together, having amazing kids
Beautiful
story isn’t it?
But
I know it won’t and it will never happen
What?
You
thought that someday I might take you back!
I’m
not that fool! I have plans!
You
might be in my dreams but in reality I’m just a shadow
Of
all those fancy girls that despise you
I
love you, I really do
Would
want to be with you again, but I’m moving on
Hoping
that one day you’ll be one of my shadows past
Ladymyou
Wednesday, August 22, 2012
Tendresse Mortelle
Mon sourire s'efface.
Chaque jour qui passe,
La douleur grandit,
L'amertume s'épaissit,
Le vide s'installe.
Mon sourire détale.
Je ne puis lui trouver,
de raison de rester.
Le temps pèse lourd,
Il n'y a pas d'amour,
L'affection tarit,
L'amitié périt,
L'envi se meurt.
Je crois qu'il a peur,
Qu'il ne se gaspille,
Qu'il ne s'éparpille.
L'idee de se sourire
A soi-meme est telle;
Que l'idee de mourir
Nous paraisse belle.
Comme plantée devant
Un miroir narguant,
Se souriant vainement,
Désespérément,
Malheureusement,
Gentillement,
Tendrement,
... Mortellement ...
Miss Ahdynn
Chaque jour qui passe,
La douleur grandit,
L'amertume s'épaissit,
Le vide s'installe.
Mon sourire détale.
Je ne puis lui trouver,
de raison de rester.
Le temps pèse lourd,
Il n'y a pas d'amour,
L'affection tarit,
L'amitié périt,
L'envi se meurt.
Je crois qu'il a peur,
Qu'il ne se gaspille,
Qu'il ne s'éparpille.
L'idee de se sourire
A soi-meme est telle;
Que l'idee de mourir
Nous paraisse belle.
Comme plantée devant
Un miroir narguant,
Se souriant vainement,
Désespérément,
Malheureusement,
Gentillement,
Tendrement,
... Mortellement ...
Miss Ahdynn
Thursday, August 16, 2012
Fly Away
Fly
Away
You
have no right to still be here
It
is time for you to go
It
is time for you to learn
To
learn how to fly
Fly
away
Free
your spirit
Free
your mind
Free
your soul
Free
your heart
For
new things you shall give place
Fly
away
Take
the time to know
Be
humble, be respectful, be gentle
Make
true friendships
If
you fall, remember to always stand up and walk with pride
Fly
away
Life
is hard, but beautiful also
Live
it with passion
Live
with charisma
Remember
to be yourself
Fly
away
Find
the new you
Learn
how to grow
Your
wings are ready
Let
the wind transport you
And
never regret anything
But
fly always
ladymyou
Sad soul stand still
Sad soul stand still
Will rise will fall
Sharp mind stands tall
healing heart hurts still
Sad soul stand still
Will cry will scream
Broken wings dead dream
Psych must be ill
Sad soul stand still
Will lie will die
Winds will fly by
Strong spirit don't kneel
Sad soul stand still
Will hide will tear
Tear drops no fear
Deep hope High will
Sad soul stand still
Strained crushed scared battered
Harmed shattered frightened tired
Sad soul stand still
Miss Ahdynn
Will rise will fall
Sharp mind stands tall
healing heart hurts still
Sad soul stand still
Will cry will scream
Broken wings dead dream
Psych must be ill
Sad soul stand still
Will lie will die
Winds will fly by
Strong spirit don't kneel
Sad soul stand still
Will hide will tear
Tear drops no fear
Deep hope High will
Sad soul stand still
Strained crushed scared battered
Harmed shattered frightened tired
Sad soul stand still
Miss Ahdynn
Sunday, August 12, 2012
Des ébats
Sous des draps, Avec des gémissements
Ca grince, Le lit qui bouge tellement.
Deux jambes de femmes
Dépassent légèrement des draps,
Et s'entrelacent avec une autre paire
Mais de jambes masculines.
Des ongles lui pénètrent dans le dos.
Des dents lui persent l'épaule.
Une tension torride dans l'air,
Un dur mouvement de va et vient,
Au rythme progressivement accélérant,
A l'ardeur tendrement durcissant,
Les jambes s'élèvent, s'écartent
Les fesses se contractent,
Le corps se cambre,
La température grimpe et chute,
La passion s'étrangle dans la rage;
Et la rage se meurt dans la tension,
Ca grince, Le lit qui bouge tellement.
Deux jambes de femmes
Dépassent légèrement des draps,
Et s'entrelacent avec une autre paire
Mais de jambes masculines.
Des ongles lui pénètrent dans le dos.
Des dents lui persent l'épaule.
Une tension torride dans l'air,
Un dur mouvement de va et vient,
Au rythme progressivement accélérant,
A l'ardeur tendrement durcissant,
Les jambes s'élèvent, s'écartent
Les fesses se contractent,
Le corps se cambre,
La température grimpe et chute,
La passion s'étrangle dans la rage;
Et la rage se meurt dans la tension,
Et la tension se meurt dans la douleur,
Qui s'évapore dans la passion ,
Qui se dissous dans la douceur.
Dans l'atmosphère tordue ,
Qui envahit les lieux;
Ce moment, ce parfait petit instant
C'est le point qui relie l'homme a l'animal.
Rien que pour le plaisir de chevaucher le manche,
Rien que pour pouvoir le lui enfoncer dans la fente,
Rien que pour cela ,
Un homme,
Une femme,
Se dévorent sous des draps...
Miss Ahdynn
Miss Ahdynn
Décollée
Lentement le soleil se couche à l'horizon
Il reprend son cycle. Une chose immonde,
Coule dans ses veines comme un très venimeux poison,
Qui la retient, qui la relie à ce monde.
Une abomination qui comme le soleil,
Brille, luit et brule pour se faire sentir.
Elle se couche, elle se lève sans sommeil,
Qui ne persiste assez longtemps pour mourir.
Laquelle vaut mieux vivre avec que mourir sans.
L'amour blesse, foudroie, brule, détruit c'est vrai.
Il en a toujours été ainsi et pourtant,
On y tient, on en rêve, C'est ce que l'on est.
Un petit coeur sur des pattes se déplace.
Animal sociable qui ne sait qu'en rêver.
L'être humain de l'amour jamais ne se lasse.
Jeu dangereux, qui n'y a donc jamais jouer?
L'histoire du tigre et de la petite chatte
Histoire de toutes et de plus d'une d'entre nous.
Le récit du grand dévoreur que l'on appâte;
Le conte de la dévorée qui amadoue.
Il arrive féroce , malade , enragé
Beaucoup trop grand pour certaines , trop petit ailleurs
Jour viendra-t-il où pied trouvera son soulier
Il n'y est rien qui ne se termine par des pleurs
L'homme aime pour appartenir au monde
L'homme n'appartient au monde que pour aimer
Comblée de nobles sentiments qui l'inondent
C'est l'identité de la femme d'aimer.
Il faut de la fougue d'amour, de la passion,
Elle voudrait pouvoir crier, non, il le faut.
Fais moi l'amour ,mon amour fais très attention
Elle aimerait bien se retrouver en étau.
Nouée dans les bras de son apollon si beau
Enveloppée dans des draps rouges violacées
Tendrement faire rouler ses doigts sur sa peau
Avec l'étalon, dans du satin enlacée .
Ecarte-lui les jambes et prend possession
Maitrise la amoureusement sans douleur
Entame lui les mamelons avec passion
Agrippe ses fesses avec beaucoup de douceur
Doucement faire monter la température
Que sa peau s'embrase, que son corps s'enflamme
Gémir, non, hurler sous le poids de la torture.
Rêve de toute vierge qui se veut femme.
Il reprend son cycle. Une chose immonde,
Coule dans ses veines comme un très venimeux poison,
Qui la retient, qui la relie à ce monde.
Une abomination qui comme le soleil,
Brille, luit et brule pour se faire sentir.
Elle se couche, elle se lève sans sommeil,
Qui ne persiste assez longtemps pour mourir.
Laquelle vaut mieux vivre avec que mourir sans.
L'amour blesse, foudroie, brule, détruit c'est vrai.
Il en a toujours été ainsi et pourtant,
On y tient, on en rêve, C'est ce que l'on est.
Un petit coeur sur des pattes se déplace.
Animal sociable qui ne sait qu'en rêver.
L'être humain de l'amour jamais ne se lasse.
Jeu dangereux, qui n'y a donc jamais jouer?
L'histoire du tigre et de la petite chatte
Histoire de toutes et de plus d'une d'entre nous.
Le récit du grand dévoreur que l'on appâte;
Le conte de la dévorée qui amadoue.
Il arrive féroce , malade , enragé
Beaucoup trop grand pour certaines , trop petit ailleurs
Jour viendra-t-il où pied trouvera son soulier
Il n'y est rien qui ne se termine par des pleurs
L'homme aime pour appartenir au monde
L'homme n'appartient au monde que pour aimer
Comblée de nobles sentiments qui l'inondent
C'est l'identité de la femme d'aimer.
Il faut de la fougue d'amour, de la passion,
Elle voudrait pouvoir crier, non, il le faut.
Fais moi l'amour ,mon amour fais très attention
Elle aimerait bien se retrouver en étau.
Nouée dans les bras de son apollon si beau
Enveloppée dans des draps rouges violacées
Tendrement faire rouler ses doigts sur sa peau
Avec l'étalon, dans du satin enlacée .
Ecarte-lui les jambes et prend possession
Maitrise la amoureusement sans douleur
Entame lui les mamelons avec passion
Agrippe ses fesses avec beaucoup de douceur
Doucement faire monter la température
Que sa peau s'embrase, que son corps s'enflamme
Gémir, non, hurler sous le poids de la torture.
Rêve de toute vierge qui se veut femme.
Sunday, August 5, 2012
Envole-toi petit oiseau
Envole-toi, petit oiseau
Déploie tes ailes et vole
Libère-toi de tous fardeaux
Et prend ton envol
Envole-toi, petit oiseau
Va et emporte ma douleur
Envole-toi, petit oiseau
Vole loin , vogue longtemps
O mon bel oiseau
Au rythme du dondon du vent
Envole-toi, petit oiseau
Va et rapporte-moi le bonheur
Envole-toi,petit oiseau
Fuis aussi loin que tu peux
Vers là ou l'air et l'eau
Cessent enfin d’être deux
Envole-toi, petit oiseau
Va et emporte ma douleur
Envole-toi, petit oiseau
Par delà les frontières
Au pays sans chapeaux
Par delà le temps, l'univers
Envole-toi, petit oiseau
Va et rapporte moi le bonheur
Envole-toi , petit oiseau
Exprime ta majesté
Élance-toi, splendide oiseau
Va, Vole vers ta liberté.
Miss Ahdynn
Déploie tes ailes et vole
Libère-toi de tous fardeaux
Et prend ton envol
Envole-toi, petit oiseau
Va et emporte ma douleur
Envole-toi, petit oiseau
Vole loin , vogue longtemps
O mon bel oiseau
Au rythme du dondon du vent
Envole-toi, petit oiseau
Va et rapporte-moi le bonheur
Envole-toi,petit oiseau
Fuis aussi loin que tu peux
Vers là ou l'air et l'eau
Cessent enfin d’être deux
Envole-toi, petit oiseau
Va et emporte ma douleur
Envole-toi, petit oiseau
Par delà les frontières
Au pays sans chapeaux
Par delà le temps, l'univers
Envole-toi, petit oiseau
Va et rapporte moi le bonheur
Envole-toi , petit oiseau
Exprime ta majesté
Élance-toi, splendide oiseau
Va, Vole vers ta liberté.
Miss Ahdynn
Saturday, August 4, 2012
In your Arms
Why
do I want you?
Why
do I love you?
Why
do I care for you?
Will
I take you for who you are?
Will I
go with you wherever you say?
Then
you shall see
Then
you shall know
Then
you will understand
Now
hold me in your arms
This
is where I want to be
Can
you feel my hands streaming with softness on your back?
Can
you see my eye lightning up like a fire into yours?
Do
you hear my heart beating as one with yours?
Because
in your arms, I love to smell your manly cologne
I
look at your lips.
Your
lips, maybe small are the ones I want to kiss at night and in the morning
To
caress your hair shall be my new hobby
Do
you see it now?
You
must know that in your arms, I melt as I drown into those brown eyes
And
in your arms, I only see you and me
But…,
there is no but
Trust
me once; let your heart speak for yourself
You
will know the answer you have quest for
Don’t
worry; I’ll wait because I’m yours till the end.
Ladymyou
Thursday, August 2, 2012
Dans nos yeux
Si les yeux sont la porte de l’âme
Si le corps ne
peut vivre sans l’âme
Si les yeux voient
en tout et en tous
Si le corps ne
protège pas de tous
Si tes yeux
peuvent dans les miens lire
Si dans tes yeux
je pourrais lire
Si dans mon corps
tu pourrais trouver
Si dans ton cœur
je pourrais chercher
Si dans ma douleur
tu pourrais baigner
Si dans ton
sourire je pourrais me noyer
Si ton regard je
pourrais croiser
Si mes yeux dans
les tiens pourraient tomber
Je voudrais être
aveugle aujourd’hui
Je ne voudrais
plus rien voir dans la vie
Je risquerais de
trop lire dans ton âme
Je risquerais de
trop te laisser voir dans ma flamme
Je mourrais si je
devais lire dans tes yeux
Je mourrais si je
n’y trouvais pas ce que je veux
Je préfère ne
jamais y regarder
Je ne supporterais
pas de ne rien y trouver
Je ne veux pas que
tu regardes dans mes yeux
J’ai trop peur de
regarder dans les tiens
Cela voudrait dire
qu’on se regarde tous les deux
Cela voudrait dire
que tu verrais très bien
Ce qui se passe en
moi
Cela voudrait dire qui je verrais
Ce qui se passe en toi
Je sais que rien ne s'y passe...
Tu pars
Mon
ciel est gris
Mon
Coeur est cloitré
Ma
terre est devenue plate comme une feuille de papier
Mon
monde s’est écroulé
Ma
joie est peine
Mon
amour est meurtri
Tu
pars
Tu
t’en vas sans dire mot
Laissant
aisni face à la douleur
Une
moi toute inconsolable
Je
te regarde, les yeux mouillés de larmes, quitter une vie
Pour
une prochaine sans vie, sans orage et sans regrets
Avec
ce sourire moqueur qui m’a tant charmé
Et là, je me rappelle de nous
Je m’en souviens encore de notre
amour chéri
De nos conscesions promises
De tant d’efforts mis à batir ce royaume
ou toi et moi avons connu
La passion d’un amant et de sa
maitresse
Et là, je te vois partir
Avec l’idée, pourtant vrai, d’avoir
ete aimée
Ladymyou
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